Le style de Verdi

Partie I

 

Il y a 200 ans naissait Verdi...

 

Afin de mieux comprendre le « style verdien », il convient en premier lieu de se tourner vers les antécédents verdiens, purement italiens, et les compositeurs des pays qui ont pu influencer le compositeur Italien.

 


Les grands maîtres italiens

 


Très tôt, grâce à sa formation en tant qu’organiste mais aussi maître de musique et compositeur, Verdi est amené à étudier les grands maîtres italiens qui ont fait la richesse de l’école italienne de clavier tels que Scarlatti, mais aussi Meyerbeer, Rossini et Donizetti pour ne citer qu’eux.

 

Dans les compositeurs sans doute moins connus du grand public, citons deux figures particulièrement importantes qui sont Mercadante et Paccini deux compositeurs notables à cette époque.

 


Chez les compositeurs Français, le plus important est Gounod dont Verdi, tout en l’admirant souhaite se démarquer. N’oublions pas que Gounod, compositeur du célèbre « Faust » est alors considéré par beaucoup comme le plus grand compositeur du moment.

 


Wagner, en concurrence avec Verdi ce qui a d’ailleurs beaucoup fait souffrir ce dernier, a sans doute poussé Verdi à de plus grandes recherches dans le traitement de l’orchestration et de l’harmonisation de sa musique, pour ce qui concerne en tout cas certains passages de l’Aida et l’Otello. Nous aurons l’occasion de revenir sur l’antagoniste Verdi Wagner dans un autre article.

 


L’autre influence possible sur Verdi est, à la lecture de l’Aida surtout, le compositeur Russe à la mode à cette époque : Glinka.

 

La suite des chroniques sur Verdi

 

 

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